Sauveterre (Gers)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sauveterre
Sauveterre (Gers)
La place Elie Rançon, avec l'église et la mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Auch
Intercommunalité Communauté de communes du Savès
Maire
Mandat
Bernard Lozes
2020-2026
Code postal 32220
Code commune 32418
Démographie
Gentilé Sauveterriens
Population
municipale
286 hab. (2021 en augmentation de 13,94 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 27′ 27″ nord, 0° 51′ 29″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 311 m
Superficie 16,45 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val de Save
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sauveterre
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sauveterre
Géolocalisation sur la carte : Gers
Voir sur la carte topographique du Gers
Sauveterre
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Sauveterre

Sauveterre (Sauvatèrra en gascon) est une commune française située dans le sud-est du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Savès, une petite province gasconne correspondant au cours moyen de la Save.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Save, la Gesse, l'Esquinson, le ruisseau de Moysenne et par divers autres petits cours d'eau.

Sauveterre est une commune rurale qui compte 286 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 907 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Sauveterriens ou Sauveterriennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Sauveterre est une commune du Savès située à flanc de coteau dans un paysage très vallonné. L'habitat est assez dispersé et on trouve environ une maison sur chaque colline. Sauveterre est à quelques kilomètres de Lombez et Samatan où se trouvent les commerces, un boulanger passe deux fois par semaine.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Sauveterre est limitrophe de six autres communes.

Communes limitrophes de Sauveterre[1]
Gaujac Montamat
Sauveterre Lombez
Sabaillan Cadeillan Espaon

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 645 hectares ; son altitude varie de 170 à 311 mètres[2].

Au point le plus haut du village (le Tupet), la vue est dégagée par les vallées de la Save et de la Gesse et la situation est en recul perpendiculaire central par rapport à l'ensemble des massifs pyrénéens. Cette situation spécifique a permis l'installation d'une table d'orientation afin de situer (lorsqu'ils sont visibles) la plupart des sommets de plus de 2000 mètres d'altitude des Pyrénées : Canigou, Pique d'Estats, Mont Vallier, Aneto, Posets, Arbizon, Pic du Midi de Bigorre, Balaïtous, Pic d'Anie, Néouvielle, Maubermé, Tuc de Crabère, Pic Long, etc.

Sauveterre se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Sauveterre.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[4]. Elle est drainée par la Save, la Gesse, l'Esquinson, le ruisseau de Moysenne, le Marcadau, le Marcadau, le ruisseau de Coutan, le ruisseau de Lédan, le ruisseau d'en Courneil et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[5],[Carte 1].

La Save, d'une longueur totale de 143 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé 46 communes[6].

La Gesse, d'une longueur totale de 52,1 km, prend sa source dans la commune d'Arné et s'écoule vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Save à Espaon, après avoir traversé 21 communes[7].

L'Esquinson, d'une longueur totale de 13,8 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Save à Samatan, après avoir traversé 7 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 747 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lahas à 11 km à vol d'oiseau[11], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans un cadre rural.

Typologie[modifier | modifier le code]

Sauveterre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[18],[I 1],[19]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), forêts (1,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès avec la routes départementales D 149.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Sauveterre est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Save, la Gesse et l'Esquinson. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[23]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009[24],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sauveterre.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 152 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 152 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 2003 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

La place publique est entourée par la mairie, l'école et l'église de Saint-Amat, l'ancien presbytère, la scolaire. Jusqu'en septembre 1990, date de fermeture de l'école, cette place tenait lieu de cour de récréation. De la place publique, un chemin appelé dans le temps "la rue des Nobles", conduit au sommet du coteau, localement appelé le Tupet. Par temps clair, de ce tumulus situé à 280 mètres, qui domine la vallée de la Save, on peut admirer la chaîne des Pyrénées sur une longueur de 300 km. C'est en ce lieu, qu'à l'époque de la féodalité, était érigé un château fort dont les derniers vestiges, un pan de mur, ont été démolis il y a quelques années. Autrefois, ce terrain appartenait à la famille de Résséguier (voir chapelle attenante au cimetière).

Sauveterre, commune la plus importante du canton de Lombez comptait 605 habitants (entre 1790 et 1793). Il y avait 3 cafés, 2 épiciers, 2 forgerons maréchaux-ferrants, 1 filature, 1 boulanger, 1 entrepreneur de battage. Sauveterre est une commune essentiellement agricole, vouée à la culture et à l'élevage[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[28],[29].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de l'arrondissement d'Auch de la communauté de communes du Savès (Gers) et du canton de Val de Save (avant le redécoupage départemental de 2014, Sauveterre faisait partie de l'ex-canton de Lombez).

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2014 Jean Magnoac[30]    
mars 2014 2020 Michel Zamuner DVG Retraité
2020 En cours Bernard Lozes    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 286 habitants[Note 2], en augmentation de 13,94 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
725810781833902881907878873
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
874851731709724697686657605
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
581606489477449432396400364
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
326283264219229233234259286
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[35] 1975[35] 1982[35] 1990[35] 1999[35] 2006[36] 2009[37] 2013[38]
Rang de la commune dans le département 120 105 127 139 130 154 168 163
Nombre de communes du département 466 462 462 462 463 463 463 463

Enseignement[modifier | modifier le code]

Sauveterre fait partie de l'académie de Toulouse.

La commune disposait d'une école primaire jusqu'en 1990.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête patronale a lieu pour la Saint-Amat, le . Pour cette fête, un bœuf était jadis tué et débité sur place.

Les bouilleurs de cru, Ariégeois, venaient trois semaines environ, début novembre, pour distiller.

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Chasse, pétanque, randonnée pédestre,

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 115 ménages fiscaux[Note 3], regroupant 255 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 500 [I 4] (20 820  dans le département[I 5]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 3,8 % 3,5 % 5,8 %
Département[I 7] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 165 personnes, parmi lesquelles on compte 83,3 % d'actifs (77,6 % ayant un emploi et 5,8 % de chômeurs) et 16,7 % d'inactifs[Note 4],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 59 emplois en 2018, contre 60 en 2013 et 44 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 129, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,4 %[I 10].

Sur ces 129 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 34 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 78,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 4,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

17 établissements[Note 5] sont implantés à Sauveterre au [I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,4 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 17 entreprises implantées à Sauveterre), contre 14,6 % au niveau départemental[I 14].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Aperçu d'une ferme située à Sauveterre.

La production agricole est constituée de cultures de blé, de maïs et de tournesols, ainsi que d'élevage bovin.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans l'Astarac, une petite région agricole englobant tout le Sud du département du Gers, un quart de sa superficie, et correspondant au pied de lʼéventail gascon[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 37 30 26 16
SAU[Note 7] (ha) 1 512 1 612 1 801 1 304

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 37 lors du recensement agricole de 1988[Note 8] à 30 en 2000 puis à 26 en 2010[41] et enfin à 16 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[42],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 512 ha en 1988 à 1 304 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 41 à 82 ha[41].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  4. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  5. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  6. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  8. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Sauveterre » sur Géoportail (consulté le 12 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Sauveterre » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Sauveterre » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Sauveterre » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Sauveterre » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. Plan séisme
  4. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Fiche communale de Sauveterre », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  6. Sandre, « la Save »
  7. Sandre, « la Gesse »
  8. Sandre, « l'Esquinson »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Sauveterre et Lahas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Lahas » (commune de Lahas) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Lahas » (commune de Lahas) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sauveterre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sauveterre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des espaces protégés sur la commune de Sauveterre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sauveterre », sur Géorisques (consulté le ).
  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  23. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gers », sur gers.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sauveterre », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. (texte de Elie Danglade).
  28. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  29. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  30. Site de la préfecture - Fiche de Sauveterre
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  36. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  37. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  38. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  39. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  40. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  41. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Sauveterre - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  42. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).